Née en France d’un père algérien et d’une mère libanaise, Warda El Djazairia débuta son parcours artistique dès l’enfance. Connaissant précocement le succès, elle fut pourtant éloignée d’Egypte sur décision du président Gamal Abdel Nasser après la fuite de rumeurs impliquant des officiels égyptiens. Finalement, ce fut au Caire qu’elle réélit domicile pour
Prévu du 27 au 29 juin 2024 à Essaouira, le 25e Festival gnaoua et musiques du monde sera la première page d’«un nouveau chapitre». Outre les concerts de cette édition anniversaire, les organisateurs ont annoncé, mardi, un programme de formation avec le Berklee College of Music de Boston (Etats-Unis) pour les artistes gnaoua.
A la chute du régime monarchique en Egypte (1952), Oum Kalthoum fut perçue comme une chanteuse des temps révolus. Elle fut interdite de diffusion, ce qui la poussa à prendre sa retraite. Mais Gamal Abdelnasser intervint pour la convaincre de revenir sur sa décision. Le guide de la Révolution des officiers libres fit de la suite de son parcours artistique une véritable gloire du monde arabe.
La diva libanaise Fairouz a incontestablement marqué les générations dans le monde arabe. Sa voix unique et envoûtante se distingue par sa puissance autant que par sa mélodie. Au cours de sa longue carrière, elle a à son actif 100 albums et plus de 800 chansons, qu’elle a toutes refusées de chanter aux dirigeants politiques. Elle les dédie plutôt à sa patrie et principalement à la cause palestinienne.