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Info Palestine & la résistance du 07/02/2024
7 février 2024 16:11
La réponse du Hamas aux médiateurs :

➡️ Le Hamas propose une première phase de 45 jours pour échanger des prisonniers et libérer des Israéliens non militaires

➡️ Le Hamas propose une deuxième étape pour libérer les Israéliens en échange de prisonniers palestiniens et d’un retrait complet de Gaza

➡️ Le Hamas propose une troisième phase, d’une durée de 45 jours, au cours de laquelle les dépouilles et les corps seront échangés.
7 février 2024 16:13
Voici le texte de la réponse que le mouvement Hamas a remis aux médiateurs qataris et égyptiens au document « Accord-cadre » qui lui a été présenté après la réunion de Paris.

Les parties américaine et israélienne ont reçu une copie de la réponse du « Hamas », qui fait 3 pages, comprenant des amendements au document « Accord Cadre » en plus d’une annexe spéciale pour les garanties et les exigences visant à mettre fin à l’agression :

Projet – Réponse initiale / Réponse du mouvement Hamas à un cadre général pour un accord global entre les parties (entre l’occupation israélienne, le Hamas et les factions palestiniennes)

1️⃣ La première étape (45 jours) :

Cette phase humanitaire vise à libérer tous les détenus israéliens, femmes et enfants (de moins de 19 ans, non appelés), les personnes âgées et les malades, en échange d’un nombre déterminé de prisonniers palestiniens.

En plus il s’agit d’intensifier l’aide humanitaire, en repositionnant les forces à l’extérieur des zones peuplées et permettant le démarrage des travaux de reconstruction d’hôpitaux, de maisons et d’installations dans toutes les zones de la bande de Gaza.

Permettre aux Nations Unies et à leurs agences de fournir des services humanitaires et d’établir des camps d’hébergement pour la population, selon ce qui suit :

– Un arrêt temporaire des opérations militaires, un arrêt des reconnaissances aériennes et un repositionnement des forces israéliennes loin des zones peuplées de toute la bande de Gaza, le long de la ligne de démarcation.
Cela pour permettre aux parties de finaliser l’échange de détenus. et les prisonniers.

Les deux parties libéreront les détenus israéliens, les femmes et les enfants (de moins de 19 ans, pas les conscrits), les personnes âgées et les malades, en échange d’un certain nombre de prisonniers palestiniens, à condition que cela soit fait de manière à garantir la libération, au cours de cette étape, de toutes les personnes dont les noms figurent sur les listes préalablement convenues.

– Intensifier l’introduction des quantités nécessaires et suffisantes pour répondre aux besoins de la population (à déterminer) en aide humanitaire, carburant, etc., au quotidien, ainsi que permettre l’arrivée de quantités appropriées d’aide humanitaire à tous zones de la bande de Gaza, y compris le nord de la bande, et le retour des personnes déplacées vers leurs lieux de résidence dans toutes les zones.

– Reconstruire les hôpitaux dans tout le secteur, introduire le nécessaire pour établir des camps/tentes de population pour loger la population et reprendre tous les services humanitaires fournis à la population par les Nations Unies et ses agences.

– Entamer des discussions (indirectes) sur les conditions nécessaires au retour au calme complet.

– L’annexe ci-jointe détaillant les détails de la première phase fait partie intégrante du présent accord, étant entendu que les détails des deuxième et troisième phases seront convenus lors de la mise en œuvre de la première phase.
7 février 2024 16:14
2️⃣ La deuxième étape (45 jours) :

Les discussions (indirectes) sur les conditions nécessaires à la poursuite de la cessation des opérations militaires mutuelles et au retour à un état de calme complet doivent être achevées et annoncées avant la mise en œuvre de la deuxième phase, qui vise à libérer tous les détenus de sexe masculin (civils et conscrits), en échange d’un nombre précis de prisonniers palestiniens, la poursuite des mesures humanitaires de la première phase, le retrait des forces israéliennes hors des frontières de toutes les zones de la bande de Gaza et le début de travaux complets de reconstruction des maisons, des installations et des infrastructures qui ont été détruits dans toutes les zones de la bande de Gaza, selon des mécanismes spécifiques qui garantissent la mise en œuvre de cela et la fin complète du siège de la bande de Gaza conformément à ce qui sera convenu.

3️⃣ La troisième étape (45 jours) :

Les deux parties libéreront les détenus israéliens, notamment les femmes, les enfants (de moins de 19 ans, pas les conscrits), les personnes âgées et les malades, en échange de tous les prisonniers des prisons d’occupation, y compris les femmes, les enfants, les personnes âgées (de plus de 50 ans), et les malades, qui ont été arrêtés jusqu’à la date de signature de cet accord, sans exception.

Outre 1 500 prisonniers palestiniens nommés qui doivent être libérés, le Hamas en nomme 500 autres qui ont été condamnés à la perpétuité et à de lourdes peines.

– Achever les procédures juridiques nécessaires pour garantir que les prisonniers palestiniens et arabes ne soient pas de nouveau arrêtés pour les mêmes accusations pour lesquelles ils ont été arrêtés.



Sources d’Al Jazeera :

Le Hamas a exigé que le Qatar, l’Égypte, les États-Unis, la Turquie et la Russie soient garants de la mise en œuvre de l’accord.

Le médiateur qatari a promis au Hamas qu’« Israël » accepterait de libérer entre 3.000 et 5.000 prisonniers dont le Hamas choisirait les noms..



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/02/24 16:16 par enicnaY.
7 février 2024 16:16
Porte-parole des Brigades Abu Ali Mustafa, Abu Jamal :

Nous envoyons un message à notre peuple fidèle et nous vous promettons que nous resterons fidèles au sang des martyrs et nous poursuivrons notre combat dans le cadre de l’opération Déluge d’Al-Aqsa avec nos frères de toutes les factions de la résistance et sur tous les fronts.

Nous avons infligé de lourdes pertes à l’occupation et après 4 mois de guerre, nous sommes devenus plus déterminés à poursuivre la guerre.

Nous disons à l’occupation que votre agression aveugle et la mort de vos officiers et soldats sera une leçon d’histoire à méditer.

Les prisonniers que nous détenons à Gaza ne reviendront que sur la décision de la résistance et dans le cadre d’un accord du tous pour tous (tous nos prisonniers contre tous vos prisonnier), un arrêt de l’agression, un retrait de Gaza et la reconstruction.
7 février 2024 16:17
Une déclaration du ministère des Affaires étrangères concernant les discussions entre le Royaume d’Arabie saoudite et les États-Unis d’Amérique sur le processus de paix israélo-arabe.

Traduction :

Le ministère des Affaires étrangères a déclaré qu’en ce qui concerne les discussions entre le Royaume d’Arabie saoudite et les États-Unis d’Amérique sur le processus de paix israélo-arabe, et à la lumière de ce qui a été attribué au porte-parole américain en matière de sécurité nationale, le ministère des Affaires étrangères affirme que la position du Royaume d’Arabie Saoudite a toujours été ferme sur la question palestinienne et sur la nécessité pour le peuple palestinien frère d’obtenir ses droits légitimes.

Le Royaume a fait part de sa position ferme à l’administration américaine selon laquelle il n’y aura pas de relations diplomatiques avec Israël à moins qu’un État palestinien indépendant ne soit reconnu sur les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale, et que l’agression israélienne sur la bande de Gaza cesse et que tout soit réglé.

Le Royaume réitère son appel aux membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU qui n’ont pas encore reconnu l’État palestinien, à accélérer la reconnaissance de l’État palestinien aux frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale, afin que le peuple palestinien puisse obtenir leurs droits légitimes et afin qu’une paix globale et juste soit instaurée pour tous.

[Ministère des Affaires étrangères du Royaume d’Arabie Saoudite 07 février 2024]
7 février 2024 16:20
par Thierry Meyssan

À chaque instant, les hommes se demandent si le massacre à Gaza ne va pas dégénérer en Guerre mondiale. Ce pourrait être le cas, mais cela ne l’est pas. Tous les protagonistes du Levant agissent avec retenue, chacun évitant l’irréparable, tandis que les suprémacistes juifs de la coalition de Benjamin Netanyahou avancent inexorablement leurs pions.

À l’issue de quatre mois de guerre à Gaza contre le peuple palestinien et contre le courant du Hamas appartenant à la Résistance palestinienne, mais jamais contre celui obéissant à la Confrérie des Frères musulmans, les différents acteurs ont affiché leur position.

Tout en prétendant à ses citoyens lutter contre le Hamas en général, la coalition de Benjamin Netanyahou œuvre à terroriser les Gazaouis pour les faire fuir. Les privations, les tortures et les massacres ne sont pas une fin en soi, juste des moyens pour parvenir à annexer cette terre.

Ansar Allah, le puissant parti politique yéménite, a pris l’initiative d’attaquer en mer Rouge des navires israéliens ou faisant escale en Israël, en exigeant l’arrêt du massacre à Gaza. Progressivement, il a également attaqué des navires liés à des États soutenant ce massacre. Le Conseil de Sécurité des Nations unies a rappelé que le Droit international interdit d’attaquer des navires civils tout en reconnaissant que le problème ne sera pas résolu tant que le massacre se poursuivra.

Les États-Unis, tout en s’opposant au massacre des civils palestiniens, se sont montrés solidaires de la population israélienne juive dans sa vengeance aveugle contre eux. Ils ont continué à fournir les FDI en obus, tout en appelant Tel-Aviv à laisser entrer l’aide humanitaire requise. Sur cette même ligne politique, ils ont pris en charge le problème posé par la résistance des Yéménites en créant l’Opération «Gardien de la Prospérité». Ils y ont fait participer leurs affidés occidentaux en violation de l’autorité du Conseil de Sécurité des Nations unies qui n’a jamais autorisé d’intervention militaire au Yémen. Cependant l’état-major militaire français s’est retiré de cette alliance au bout de deux jours, mettant en avant son objection de conscience à couvrir le massacre de Gaza. Au demeurant les bombardements des Occidentaux ne sont pas parvenus à toucher les centres militaires d’Ansar Allah.

L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, qui viennent de livrer une longue guerre au Yémen, se sont abstenus de rejoindre «Gardien de la Prospérité» et ont, au contraire, signé un accord de paix avec Ansar Allah. Tous se sont retrouvés sur la position de la Ligue arabe, formulée en 2002 : reconnaissance et normalisation avec Israël dès la création d’un État palestinien.


L’Égypte qui, par effet domino a perdu 45% de ses revenus du canal de Suez, ne s’est pas retourné contre Ansar Allah. Au contraire, Le Caire a pris contact avec lui et a publiquement salué son effort en faveur du peuple palestinien. Tout au plus a-t-il appelé ses interlocuteurs à ne pas bloquer totalement la mer Rouge. Les navires chinois et russes continuent à circuler librement et Ansar Allah a annoncé qu’il restreignait ses cibles.

L’Iran, après avoir appelé ses différents partenaires de l’Axe de la Résistance à ne pas envenimer la situation, est soudain sorti de sa réserve. Téhéran a bombardé des sites liés à Israël ou aux États-Unis dans trois États distincts : la Syrie occupée illégalement par les États-Unis, l’Iraq où leur présence est légale mais pas certaines de leurs activités, et le Pakistan où ils soutiennent un mouvement séparatiste balouchte.

La Maison-Blanche a répondu que ces attaques ne resteraient pas impunies, mais n’a rien fait dans l’immédiat. Si sa riposte est légère, tous les protagonistes en concluront que Washington n’est qu’un «tigre de papier», si elle est forte, elle risque d’ouvrir la voie à une Troisième Guerre mondiale.

La Syrie a applaudi. L’Irak a protesté, assurant du bout des lèvres qu’il n’y a jamais eu de base du Mossad dans sa région autonome du Kurdistan. Puis il a demandé aux Forces occidentales de se retirer du pays.

Le Pakistan, dont Washington espérait que le nouveau gouvernement se tiendrait prêt à entrer en guerre contre l’Iran, s’est, sous l’influence de son armée, rallié à Téhéran dans sa lutte contre les séparatistes pro-US

C’est dans ce contexte que la Cour internationale de Justice (CIJ) a rendu son ordonnance provisoire dans le cadre de l’affaire opposant l’Afrique du Sud à Israël qu’elle accuse de laisser perpétrer un génocide sous la responsabilité de certains de ses dirigeants. La Cour, présidée par une ancienne fonctionnaire du département d’État US, est parvenue à une majorité écrasante de 15 juges contre 2, à une décision correspondant en tout point à la position des États-Unis : elle a reconnu qu’il y avait une suspicion de génocide et a ordonné à Israël de veiller à laisser entrer à Gaza l’aide humanitaire requise, mais elle s’est bien gardée d’aller plus loin.
7 février 2024 16:23
Elle n’a rien dit sur les demandes de réparation vis-à-vis des victimes, ni sur la condamnation par Israël des individus coupables de génocide. Surtout, elle s’est abstenue de dire que «l’État israélien doit suspendre immédiatement ses opérations militaires à l’intérieur et à l’encontre de Gaza».

Faisant mine d’accepter de se conformer à cette ordonnance, Israël a libéré le passage de Rafah et annoncé des mesures en faveur du passage de l’aide humanitaire internationale. Cependant simultanément, il a accusé l’Office des nations unies chargé de distribuer cette aide (l’UNRWA) d’être une annexe des «terroristes». Il a envoyé à Washington des preuves de la participation de 12 employés de l’Agence à l’opération du 7 octobre. Sans attendre, les États-Unis ont suspendu leur aide et convaincu une douzaine d’États affidés de les imiter. Soudain dépourvue de moyens, l’UNRWA n’a donc plus la possibilité d’acheminer cette aide dans Gaza et de la distribuer.

Washington, qui jusqu’à présent plaidait pour l’aide humanitaire aux civils, a donc durci sa position en participant à la destruction de l’agence idoine des Nations unies. Il poursuit cependant son rêve d’une «solution à deux États». En se dirigeant vers une dissolution de l’UNRWA, les Occidentaux privent les apatrides palestiniens des passeports que seuls les Nations unies peuvent leur délivrer. De fait, ils empêchent aussi l’exil «volontaire» de cette population bombardée et affamée que l’Union européenne s’apprêtait déjà à recevoir.

Enhardie par ce soutien, 11 ministres de la coalition de Benjamin Netanyahou se sont affichés lors d’un événement festif, organisé par la radio Kol Barama au Centre international des congrès de Jérusalem. Il était intitulé : «Conférence pour la victoire d’Israël – les colonies apportent la sécurité : retourner dans la bande de Gaza et le Nord de la Samarie». Les orateurs, dont Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité nationale et président du parti Force juive (Otzma Yehudit), ont assuré qu’il n’y aurait jamais de paix avec les Arabes et que seule la colonisation de l’ensemble de la Palestine pouvait apporter la sécurité aux juifs. Le Premier ministre, Benjamin Netanyahou, présent sur place, a approuvé.

Ces propos belliqueux ont choqué l’opposition à la coalition, qu’elle soit hors du gouvernement de guerre (comme Yaïr Lapid) ou qu’elle y siège (comme Yaakov Margi ou le général Benny Ganz). Surtout, ils ont exaspéré Washington qui a réagi de deux manières à cette gifle. D’abord, il a prié ses affidés de ne pas recevoir de suprémacistes juifs (comme Amichai Chikli, ministre des Affaires de la diaspora, qui était attendu à Berlin), puis il a décrété des sanctions contre certains d’entre eux. Ces mesures sont plus importantes qu’il n’y paraît puisqu’elles interdisent immédiatement toute levée internationale de fonds et transfert bancaire. Elles devraient rapidement affaiblir les suprémacistes juifs et, par contrecoup, favoriser les autres.


Rapidement, on a appris que Washington avait d’abord envisagé de faire figurer les ministres Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich sur la liste des personnes sanctionnées avant d’y renoncer. Ce dernier s’est alors contenté de rétorquer que l’accusation de Joe Biden selon laquelle des colons de Cisjordanie seraient violents est «un mensonge antisémite répandu parmi les ennemis d’Israël».

En définitive, le Pentagone a prétexté d’une attaque contre un poste-avancé militaire en Jordanie, qui a fait trois morts parmi les soldats US, pour bombarder des civils et des combattants alliés à l’Iran sur quatre-vingt-cinq sites différents en Syrie et en Irak. La Syrie a déclaré dénombrer 23 morts et se préparer à repousser l’occupant états-unien, tandis que l’Irak, qui héberge encore 1500 GI’s, a dénoncé une violation de sa souveraineté. Tuer des miliciens est un moyen pour Washington de ne pas attaquer l’Iran.

[www.voltairenet.org]
7 février 2024 16:25
Le président argentin Javier Milei vient d’arriver en Palestine occupée et a profité de l’occasion pour annoncer le transfert de l’ambassade d’Argentine à Jérusalem, après quoi il s’est immédiatement rendu au mur des lamentations.

[x.com]

Ce mur des lamentations (lieu de culte des Juifs du monde entier), ou beaucoup de gens viennent se cogner la tête, serait en réalité le reste de vestiges d’un théâtre romain.

Une honte, “pour tout ce peuple” à qui l’on a fait croire qu’il avait une terre et qu’en réalité ne possède que l’itinérance, car il a été condamné à errer si l’on se réfère à la légende.


Histoire : Le mur des lamentations serait le reste d’un vestige romain
[www.google.fr]

[www.google.fr]
7 février 2024 16:27
Front populaire :

“Nous condamnons l’annonce du président argentin Javier Meli de transférer l’ambassade de son pays à Jérusalem occupée.

– Cette mesure est hostile au peuple palestinien et à ses droits et s’aligne sur l’agression de l’entité occupante.

– Nous appelons le peuple argentin et les partis progressistes qui, ces dernières années, ont constamment soutenu les droits et la lutte du peuple palestinien, à faire pression sur le président argentin pour qu’il revienne sur sa décision.

– La Palestine, de la mer à la rivière, avec Jérusalem comme capitale, est une terre palestinienne pure et appartient au peuple palestinien, et c’est un fait ferme et établi qui ne peut être ignoré par ce président argentin ou tout autre pays aligné sur l’entité d’occupation.”
7 février 2024 16:28
L’Arabie saoudite déclare qu’il n’y aura aucune relation diplomatique avec l’entité sioniste (autoproclamée “Israël”) si celle-ci ne reconnaît pas un État de Palestine dans les frontières de 1967.

Autant dire que ça n’arrivera JAMAIS ! En tout cas pas dans la configuration actuelle. Et pour plusieurs raisons :

1 – Actuellement, seul le Hamas serait le représentant légitime, démocratiquement élu, d’un État palestinien. Mais le Hamas ne reconnaîtra pas les frontières de 1967.

2 – Dans la configuration actuelle, seul le Fatah de Mahmoud Abbas pourrait accepter les frontières de 1967. Le parti a d’ailleurs été financé par les Saoudiens.

3 – Le gouvernement sioniste n’acceptera jamais de reconnaître un État palestinien tant que celui-ci n’est pas désarmé.

4 – Même si le régime sioniste reconnaissait un État palestinien, ce ne serait pas dans les frontières de 1967.

Bref, par cette déclaration, l’Arabie saoudite vient de faire couler les négociations sur l’ouverture de relations diplomatiques officielles avec l’entité sioniste.
7 février 2024 16:31
JCDecaux, le groupe industriel français spécialisé dans la publicité urbaine, a annoncé que les affiches sur le massacre de Gaza seront retirées à l’appel de l’avocat Ariel Goldmann, le président du Fonds Social Juif Unifié et de la Fondation du Judaïsme Français, et qu’une plainte sera déposée contre ceux qui ont permis leur publication.

Dans son message sur les réseaux sociaux, Goldmann a affirmé que les affiches avaient été accrochées illégalement et a déclaré que « ces affiches n’avaient pas leur place à nos arrêts de bus ».

Les affiches indiquaient le nombre d’enfants tués par Israël et visaient à attirer l’attention sur le génocide en cours à Gaza.


CACHEZ CES AFFICHES QUE L’ON SE SAURAIT VOIR !

[www.google.fr]
7 février 2024 16:31
Il n’y rien à sauver chez ces gens-là, rien !

[x.com]
7 février 2024 16:32
La chaine anglaise Channel 4 a pu consulter le document israélien accusant l’UNRWA sur lequel plusieurs états européens se basent pour retirer leur financement.

[x.com]
7 février 2024 16:33
“Couper toute aide aux enfants de Gaza, aux femmes de Gaza, à ceux qui sont totalement innocents, c’est la pire mesure possible, à un moment où cette population prise au piège est bombardée.”

[x.com]
7 février 2024 16:34
M. Pitti, médecin humanitaire à Gaza :

“On est face à un génocide, à une volonté de supprimer une population, de l’amener dans une situation de précarité extrême, de lui retirer sa dignité, de supprimer les structures hospitalières, sans leur laisser aucune porte de sortie.”

[x.com]

La MORALITÉ c’est ça !
C’est rendre SES ENNEMIS MEILLEURS en les habituant à vivre modestement, sans rien.
Merveilleux pays d’Israel ; ils ont Toutes les VERTUS !
7 février 2024 16:35
Gaza : le petit-fils de Mandela accuse Israël de génocide

[x.com]
7 février 2024 16:36
La marine britannique annonce le retrait du destroyer HMS Diamond de la mer rouge pour maintenance et son remplacement par une autre frégate après avoir subi trois attaques depuis le Yémen.
7 février 2024 16:37
Les médias occidentaux écrivent qu’en mer Rouge, certains armateurs ont commencé à accrocher le portrait de Poutine sur leurs navires afin que les Houthis ne les bombardent pas. 😉

Les Houthis ont créé un véritable « enfer des transports » en mer Rouge. Ils ont mené plus d’une centaine d’attaques contre des navires en mer Rouge depuis l’escalade du conflit israélo-palestinien, à l’aide de drones et de missiles. Les intérêts de plus de 35 pays ont été touchés.

Leurs attaques font déjà monter les prix des denrées alimentaires. Les moyens de les contourner n’étaient pas rentables et on pensait qu’il n’y avait aucune issue. Jusqu’à ce que les navires de certaines compagnies prouvent le contraire et ne puissent traverser la zone dangereuse sans être touchés. L’un des capitaines du navire a accordé une interview à notre publication et a fait état d’une méthode de sauvetage non évidente. Dans le visage, ou plutôt dans le portrait, du dirigeant russe. Il y avait un portrait de Poutine sur le navire, que l’équipage a récupéré en passant par la route. Comme le disent les marins, c’est désormais un « ange gardien » pour les navires circulant dans le canal de Suez et la mer Rouge.

Le Parti Communautaire Néo-eurasien.
7 février 2024 16:38
Un drone sioniste capturé par la résistance palestinienne à Beit Lahia, au nord de Gaza.

[youtu.be]
7 février 2024 16:38
Président de Total Énergies :

« Les coûts de traversée de la mer Rouge ont augmenté, notamment en raison du coût de l’assurance, et la compagnie ne dispose plus de navires prêt à traverser le détroit de Bab al-Mandab. »
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